Précipice Céline Denjean
Avez-vous déjà fait partie d’un groupe et senti que, soudain, vous marchiez sur une ligne de crète incroyablement étroite ? Qu’un mouvement de travers suffirait à vous jeter dans le précipice ?
Céline Denjean nous propose un vrai polar, qui respecte les codes du genre : un corps, un enquêteur, un mystère et un dénouement final.
Le corps n’est pas tout à fait mort (au début), l’enquêteur est un duo d’enquêtrices, le mystère s’épaissit au long du roman et le dénouement vaut bien le coup.
Avec ce nouveau roman, Céline va au delà du simple roman policier consistant à démêler une intrigue ou au thriller qui crée du suspense juste pour tourner les pages. Elle crée des personnage denses qui continuent de vous accompagner, un groupe d’anciens jeunes dont le passé remonte à la surface, plutôt à la façon d’une fosse septique qui déborde que d’une source d’eau pure. Des personnages qu’on aimerait rencontrer, auxquels on croit même quand on ne les aime pas, dont le parcours nous touche nécessairement. C’est le deuxième secret : créer de l’empathie avec les personnages pour que le lecteur ait envie de savoir ce qui leur arrive – ou ce qui leur est arrivé.
Et puis, il y a le Thème, cette espèce de boules multifacettes, explorée de plusieurs angles, par plusieurs personnages, à différentes époques. Dans Précipice, Céline s’intéresse à la dynamique de groupe, en particulier adolescent, cette sorte de jubilation effervescente, les émotions à fleur de peau, les hormones en folie, des tas de certitudes et beaucoup de n’importe quoi. Avec une narration bi-temporelle, le lecteur découvre presque simultanement quels ados les adultes du roman ont été, ce qu’ils ont partagé, ce qu’ils ont vécu, dans le groupe, ou à l’extérieur.
C’est aussi un récit sur une des plus grande craintes de parents d’adolescents : jusqu’où peut-on aller, quand on a 17 ans, l’illusion d’être immortel, la soif de trouver ses limites et qu’on intègre un groupe de semblables ?
Résumé
Céline Denjean nous propose un vrai polar, qui respecte les codes du genre : un corps, un enquêteur, un mystère et un dénouement final.
Le corps n’est pas tout à fait mort (au début), l’enquêteur est un duo d’enquêtrices, le mystère s’épaissit au long du roman et le dénouement vaut bien le coup.
Avec ce nouveau roman, Céline va au delà du simple roman policier consistant à démêler une intrigue ou au thriller qui crée du suspense juste pour tourner les pages. Elle crée des personnage denses qui continuent de vous accompagner, un groupe d’anciens jeunes dont le passé remonte à la surface, plutôt à la façon d’une fosse septique qui déborde que d’une source d’eau pure. Des personnages qu’on aimerait rencontrer, auxquels on croit même quand on ne les aime pas, dont le parcours nous touche nécessairement. C’est le deuxième secret : créer de l’empathie avec les personnages pour que le lecteur ait envie de savoir ce qui leur arrive – ou ce qui leur est arrivé.
Et puis, il y a le Thème, cette espèce de boules multifacettes, explorée de plusieurs angles, par plusieurs personnages, à différentes époques. Dans Précipice, Céline s’intéresse à la dynamique de groupe, en particulier adolescent, cette sorte de jubilation effervescente, les émotions à fleur de peau, les hormones en folie, des tas de certitudes et beaucoup de n’importe quoi. Avec une narration bi-temporelle, le lecteur découvre presque simultanement quels ados les adultes du roman ont été, ce qu’ils ont partagé, ce qu’ils ont vécu, dans le groupe, ou à l’extérieur.
C’est aussi un récit sur une des plus grande craintes de parents d’adolescents : jusqu’où peut-on aller, quand on a 17 ans, l’illusion d’être immortel, la soif de trouver ses limites et qu’on intègre un groupe de semblables ?
Résumé
» Donner l’alerte, hurler de toutes ses forces ! On allait l’entendre… Mais le cri mourut dans sa bouche, un chaos d’idées se fracassa dans son esprit, une déferlante d’effroi. «
Quel est le prix à payer pour dissimuler l’inavouable ? Lorsque la vérité met vingt ans à remonter à la surface, le désir de vengeance n’en est que plus dévastateur… Guidée par son instinct, Louise Caumont, de la brigade de recherches de Tarbes, se lance dans une course contre la mort : qui sera la prochaine cible et pourquoi ?
Quel est le prix à payer pour dissimuler l’inavouable ? Lorsque la vérité met vingt ans à remonter à la surface, le désir de vengeance n’en est que plus dévastateur… Guidée par son instinct, Louise Caumont, de la brigade de recherches de Tarbes, se lance dans une course contre la mort : qui sera la prochaine cible et pourquoi ?